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Non au "mini-traité européen" sans référendum !!

19 décembre 2007

la casse des bacs pros!

               Votre avenir est en jeu!

Lycéens! Mobilisez vous!

       Bacs pros en danger!

Le ministre Xavier Darcos, du gouvernement Sarkozy veut généraliser les bacs pros en 3 ans au lieu de 4 ans actuellement!

L'échec des élèves risque d'être accru par cette réduction de trois années au lieu de 4 années:

·        Devant des filières exigeantes, les élèves seront d'autant plus en difficulté pour réussir du fait de la perte d'heures de formation.

·        La réduction du nombre de filières ou leur disparition pure et simple et la réduction du nombre d'enseignants créeront un manque de choix.

·        A terme, le diplôme du BEP disparaîtra laissant la place à un baccalauréat plus difficile à obtenir, abandonnant celles et ceux qui se seront engagés dans cette voie qui ne pourront plus faire valoir ce diplôme même en cas d'échec au bac.

Le gouvernement use et abuse du vernis idéologique d'élévation des connaissances pour contraindre la grande majorité d'entre vous à s'adapter à un dispositif  prévu au départ pour quelques uns seulement .

Voici comment sont organisées les économies budgétaires de l'éducation nationale:

·        On prend une mesure dite pédagogique qui pénalise les  élèves en difficultés,

·        Le nombre d'heures de préparation au diplôme est réduit ce qui aboutit à la fermeture de sections  alors que des dépenses matérielles ont été effectuées les dernières années…

·        On réduit le nombre d'enseignants….

Sans consultation préalable des enseignants ou des syndicats ni même de  l'inspection générale des services qui recommandent eux le maintien de la formation baccalauréat en 4 années: le ministre Xavier Darcos  en faisant passer la filière professionnelle pour une voie facile, crée ainsi toutes les conditions de l'échec !!


Pour contacter les jeunes du PCF en Mayenne

Fédération de la Mayenne du PCF 84. rue des trois régiments 53000 Laval

Tel: 02.43.53.72.83   -   courriel : pcf53@wanadoo.fr/    -   blog: http://pcf53.canalblog.com

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18 décembre 2007

tracts éducation nationale

Loi Pécresse sur les universités,

Attaques dans l’Éducation nationale…

Mobilisés

contre la casse de notre éducation

Étudiants, lycéens, mêmes combats !

Depuis quelques semaines, un mouvement grandit dans les facs. Il a un objectif essentiel : l’abrogation de la loi LRU, « relative aux libertés et responsabilités des universités », votée en pleines vacances d’été pour prendre de vitesse le monde universitaire. Cette LRU (ou loi Pécresse) soumet le système universitaire français aux lois du marché, casse les faibles acquis démocratiques des étudiants, plonge dans la précarité les enseignants et les personnels… Qui plus que nous, les futurs étudiants, auront à souffrir de sa logique marchande, de l’augmentation certaine des frais d’inscription et de la limitation de l’accès aux filières « non-rentables » ?

Ils s’attaquent aussi à nos lycées

Sarkozy l’a annoncé dans sa lettre aux éducateurs… Il veut pousser l’autonomie jusque dans les lycées. Les chefs d’établissements seront libres de définir un projet d’établissement. Quand on mélange ça avec la réforme de la carte scolaire et la pénurie de moyens pour l’Éducation, ça donne un cocktail détonnant. Ce qu’ils veulent, c’est la mise en concurrence des établissements entre eux. Si la situation n’est pas rose aujourd’hui, demain, la sélection sociale et scolaire sera accrue. Pour certains lycées les bons élèves, pour les autres, le reste.

Deuxième point important, la sélection, aggravée, pour l’entrée en sixième, en seconde et à l’université. Ni dans les discours de Nicolas Sarkozy, ni dans ceux des ministres, est développée l’idée d’une politique d’aide aux élèves en difficulté.

Il est vrai que cela coûterait cher… Le ministre de l’Éducation a expliqué son projet pour l’éducation nationale : « la maîtrise de la dépense publique », entendre « une fonction publique moins nombreuse ». Dès cette rentrée, ce sont 5.000 postes d’enseignants qui ont été supprimés. Pour 2008, ce sont 11.200 postes d’enseignants qui auront été supprimés

Mouvement Jeunes Communistes de France

www.jeunes-communistes.org

Gagner la bataille des idées pour ne pas faire que résister !

Les premières cibles choisies par Sarkozy pour ces réformes (régimes spéciaux, université, tests ADN, etc.) ne le sont jamais par hasard. Les jeunes, les fonctionnaires mais aussi les immigrés ou les habitants des quartiers populaires n’ont-ils pas été présentés par Sarkozy comme étant la source des difficultés de notre pays et de sa population ? Chaque réforme cherche à faire reculer nos droits mais aussi à imposer une vision ultralibérale de l’ensemble de la société, une vision du tous contre tous. À cela, nous devons opposer le TOUS ENSEMBLE. Combattre contre le recul du droit à la retraite pour les cheminots, c’est combattre contre l’allongement à 41 ou 42 ans qui est promis à tous en 2008. C’est pour cela qu’une convergence des mobilisations est nécessaire.

Mais nous devons aussi opposer à la droite une alternative politique. Ce qui signifie se battre aussi sur le terrain des idées. Les étudiants sont-ils responsables des 60% d’échecs en premier cycle universitaire ? N’est-ce pas plutôt les conditions d’études déplorables ou le salariat étudiant massif. Il faut aussi utiliser les moments de lutte que nous vivons pour discuter de cela dans nos lycées, nos universités, avec nos camarades de cours, mais aussi nos amis, nos parents, nos voisins.

Inventer la France et le monde de demain

Les jeunes communistes proposent aujourd’hui à chaque jeune, à partir de sa propre situation, de débattre et de lutter avec d’autres jeunes pour construire cette alternative. Rassemblons-nous pour débattre des idées à opposer à la droite, débattre des réformes à mettre en œuvre pour une transformation progressiste de la situation de chacun, de l’ensemble de la société, et lutter pour leur application effective. Résister mais aussi inventer dès maintenant peut donner du courage à ceux qui ne sont pas encore entrer dans les luttes.

Pour cela, nous sommes à l’initiative de forums pour mettre en débat cette alternative politique et la construire en acte avec un maximum de jeunes. Chacun peut y prendre part à partir de son lieu de vie, d’études ou de travail. Discutons-en !

11 décembre 2007

session extra-ordinaire du parti communiste français

  • POINT DE VUE

Une session ordinaire?

Dire que les deux journées de confrontation d'idées de la session extra-ordinaire m'ont parue trop courtes et pas assez abouties est un doux euphémisme. Loin des préoccupations de terrain, la déconnection avec les militants de la « base », la direction m'est apparue décontenancée et un peu dépassée par les réalités de terrain et aussi les critiques vigoureuses des sections locales: un avenir à construire sous la bannière du communisme préoccupe la majorité des militants.

Las de devoir exorciser le poids du passé, le complexe majeur du communiste aujourd'hui, c'est avant tout la définition de son projet de société . L'avenir de la structure parti est à réinventer mais jamais la question n'a été abordée frontalement. On attend le congrès, bref on ronge son frein? Est ce que cette session n'a été organisée que pour rebooster les troupes? Ou était-ce une mesure stratégique pour marquer le pas sur les caciques orthodoxes du parti peu enclins à l'ouverture?

La première phase du samedi après midi centrée sur les rapports des fédérations a su mettre en évidence le mal être engendré par les années jospin et les difficiles débats locaux des collectifs anti libéraux, mais aussi la nécessaire redéfinition du contenu du projet communiste. Car au-delà du terme et d'une prétendue connotation péjorative, l'attachement à celui-ci ne résout pas le flou artistique que chacun met dans sa définition propre.

L'intervention du responsable des JC a retenu mon attention, plus que je ne l'aurais supposé. « Montrer les autres possibles, proposer des alternatives, être force de proposition, entrer dans l'action par une adaptation des pratiques politiques aux jeunes » ça ça me parle! L'ouverture vers des vecteurs de réflexion spécifiques « précarité-éducation-vivre ensemble-mondialisation » a fini son intervention .

La soirée a été consacrée à des travaux de groupe (« en ruches »)sur des thèmes imposés. Au delà de la méthode qui a permis des échanges construits, je me suis posée la question de la présence des élus du CN au sein des tables , ce qui a noyauté le débat à la table où je me suis assise.

Sujet du débat: Le projet: Il apparaît comme un corps vivant qui se doit d'évoluer avec la société, en relation avec des citoyens-créateurs dans le cadre d'une démocratie éclairée et émancipatrice. Il est apparu le problème de l'accès au contenu théorique et philosophique: comment le transmettre? Par quels moyens?La nécessité de formation personnelle pour une compréhension sans élitisme du projet a été au centre du débat.(Deleuze, Chomsky)

La transmission du projet communiste par un militantisme de terrain pose problème parce qu'il a perdu son crédit auprès du public. Il a abandonné le combat idéologique au profit de « réparations-pansements-défense des citoyens ». « on a joué à l'infirmière et pas assez au docteur ».Le mandat n'a pas été porté au débat faute de temps.

Dimanche matin: bataille rangée entre ouverture, arrangement des petits pouvoirs personnels et vieux caciques ....Pour un texte assez ouvert qui préserve plus ou moins les susceptibilités de chacun! Il manque me semble-t-il des objectifs opérationnels et des « mots d'ordres » clairs sur la bataille des municipales. De fait repose sur les épaules des militants un débat interne qui se doit d'être de qualité et ambitieux sans occulter des pistes peu fréquentées habituellement par les communistes...rude!

leroi charron tiphaine

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